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Votre lexique

Vous vous lancez dans votre projet de vie avec Alsace Construction et afin de pouvoir comprendre les données techniques nous mettons à votre disposition le lexique suivant.
Ne vous posez plus de questions quant au vocabulaire utilisé par nos collaborateurs ou nos artisans, tous professionnels du bâtiment.
La construction de maisons individuelles est un métier, Alsace Construction vous donne toutes les indications pour le maîtriser également et pour vivre votre construction sereinement !

Abattant : Châssis de fenêtre ou volet basculant sur un axe horizontal

Acrotère : Muret constituant un relevé en périphérie des terrasses.

Acte Authentique : Acte reçu par un officier public (ex :notaire) rédigé selon les formalités requises et ayant une force probante particulière.

Acte sous seing privé : Acte rédigé et signé par les parties sans intervention d’un officier public.

 

A.E.P. : Alimentation Eau potable

 

Antisismique : Terme utilisé à tort pour qualifier les ouvrages dont la conception tient compte des risques éventuels de secousses sismiques ; le terme à utiliser est parasismique.

 

Arase : Face supérieure d’un mur : « Parfois le charpentier indique au maçon la hauteur de l’arase des murs afin que la base de la charpente puisse être bien conçue « .

Arbalétrier : Elément rampant support des pannes, il fait partie de la ferme qui structure la charpente d’une toiture.

Aspiration centralisée : L’aspirateur central (ou « aspiration centralisée ») est un système d’aspiration basé sur l’installation de conduits à l’intérieur même des murs de l’habitation. Les conduits sont liés à des prises d’aspiration réparties dans tout le bâtiment et à un aspirateur central, généralement localisé dans le garage ou dans une pièce de rangement facilement accessible. Différents systèmes coexistent pour le démarrage de l’aspirateur, par exemple un filage de basse tension suivant les conduits entre l’appareil et les prises d’aspiration permet de démarrer l’aspirateur central simplement en branchant le boyau flexible dans la prise d’aspiration désirée.

Les boyaux flexibles avec interrupteur permettent de démarrer ou d’arrêter l’appareil à distance.

Un moniteur de système intégré à l’aspirateur, pouvant aussi être installé dans un endroit stratégique de votre demeure, indique à l’utilisateur le statut de son appareil. Il sait ainsi précisément le moment de l’entretien.

Assainissement : Réseau de collecte et d’évacuation des eaux vannes, eaux usées et eaux pluviales.

Assurance décennale : L’assurance décennale a été instaurée par la loi du 4 janvier 1978, également connue sous le nom de Loi Spinetta. Celle-ci crée une obligation d’assurance :

La combinaison d’une police dommage ouvrage et de responsabilité civile décennale s’appelle Assurance Police unique de chantier (France)

À l’origine elle se fonde sur les principes dont s’inspirent les articles 1792 et suivants du code civil qui prévoit une responsabilité du constructeur dans le cas d’un contrat de louage.

En ce sens elle garantit :

  • la solidité de l’ouvrage
  • l’impropriété à la destination
  • la solidité des éléments d’équipements indissociables
  • les effondrements résultants d’un vice de construction

Elle s’applique également aux constructions nouvelles engagées par les particuliers.

Les « maîtres d’ouvrage » ont donc un grand intérêt à recueillir avant la signature d’un contrat ou d’un devis les attestations et à vérifier que le début des travaux est bien dans la période de validité de l’attestation. En cas contraire ou en cas de « disparition » de l’entreprise ces documents seront essentiels pour faire valoir leurs droits.

Assurance DO : L’assurance dommage ouvrage est une assurance obligatoire pour les constructions neuves, instituée par la loi n°78-12 du 4 janvier 1978.

Elle doit-être souscrite avant le début des travaux effectués par une entreprise. Elle a pour objet de garantir le remboursement ou la réparation des désordres relevant de la garantie décennale sans attendre les décisions de justice. La compagnie fournissant cette garantie doit faire effectuer les travaux nécessaires déterminés par une expertise unique. A charge pour elle de se retourner ensuite contre le ou les responsables des désordres constatés.

Le point de départ de la garantie débute au terme de la première année suivant la réception des travaux, elle prend ainsi la suite de la garantie de parfait achèvement et prend fin au terme de la garantie décennale.

Elle garantit le propriétaire ayant fait faire les travaux, mais aussi les propriétaires suivant dans la limite de la durée de la garantie décennale.

Cette assurance à un caractère d’obligation, sa non-souscription est donc passible de sanction, exception faite des personnes physiques construisant un logement pour elles-mêmes ou pour le conjoint, ses ascendants ou descendants ou ceux de son conjoint, et peut entraîner des difficultés en cas de revente du bien concerné pendant la durée de la garantie décennale.

Avenant : document écrit établi pour modifier ou compléter les clauses initiales du contrat. L’avenant doit être accepté par les 2 parties.

Auvent : Ouvrage en saillie en façade (toiture ou dalle) situé généralement au dessus des portes d’entrée.

Baie : Ouverture dans un mur fermée par une fenêtre. La baie est dite libre lorsqu’elle ne reçoit pas de menuiserie.

Balustrade : Garde corps composé de balustres (éléments tournés en pierre ou en bois), disposé en périphérie de balcons et terrasses.

Bâtiment performant : bâtiment considéré efficace au point de vue énergétique selon les normes les plus sévères. Sert également à désigner un bâtiment procurant une excellente qualité de l’air intérieur et dont les systèmes sont durables d’un point de vue technique.

BBC : label BBC « Bâtiment Basse Consommation », pour une consommation d’énergie inférieure à 50 kWh/m2.an, modulée selon la zone géographique d’implantation. En Alsace, la consommation est de 65 kWh/m2.an L’association Effinergie a été créée, en partenariat avec plusieurs conseils régionaux et associations, pour assurer la promotion des constructions dont la consommation se situe au niveau du label BBC : elle fédère les maîtres d’oeuvre, constructeurs, banques, pouvoirs publics qui veulent s’y impliquer et met en avant les projets et les réalisations remarquables dans ce domaine.

 

Béton Armé : Béton incorporant une armature en acier lui conférant sa résistance aux efforts de flexion et de traction.

 

Béton banché : coulé dans des coffrages verticaux.

Béton précontraint : Béton armé dont les armatures sont mises en tension avant coulage. Le béton est mis en compression par les tiges d’acier.

Béton cellulaire : Béton non armé léger comportant de multiples petites bulles qui lui confèrent de bonnes qualités d’isolation thermique.

Boisseau : Eléments préfabriqués permettant le montage, par emboîtement, de conduits de cheminée ou de ventilation.

 

Bow-window : Ouvrage vitré en avancée sur une façade. Mot anglais souvent utiliser pour désigner l’oriel; élément de construction à pans coupés ou cintrés, placé en saillie sur le parement d’un mur de façade et recevant plusieurs fenêtre. Syn. Oriel, Logette.

Cadastre : Les documents cadastraux sont des documents administratifs permettant d’identifier les propriétés de chaque commune. Ils peuvent être consultés en mairie. (plans parcellaires)

Calorifuge : Isolant thermique résistant aux hautes températures.

Canalisation : collecter et évacuer les eaux.

Carreau de plâtre : Elément industriel rectangulaire constitué de plâtre utilisé pour la construction de cloisons intérieures.

Certificat d’urbanisme : Document administratif devant être demandé avant toute mutation de terrain au maire de la commune concernée. Il indique notamment si le terrain peut être affecté à la construction, les limitations éventuelles au droit de propriété, et l’état de desserte des lieux par les réseaux publics.
Ce document est valable 18 mois maximum.

Chaînage : Ceinture en métal ou en béton reliant les murs porteurs et évitant leur écartement.

Chainage horizontal : ceinturage périphérique en métal noyé dans le béton et reprenant les tirants verticaux notamment.

Chainage vertical : tirants métalliques traversant les murs périphériques et porteurs dans des réservations permettant l’enrobage en béton.

Chambranle : Encadrement posé en applique, généralement mouluré, pour porte et fenêtre. Prend le nom de bâti dormant lorsqu’il est scellé, destiné à une porte ou croisée.

Chape : Couche mince de ciment recouvrant la surface d’une dalle ou d’un plancher. La chape est dite flottante lorsqu’elle est désolidarisée de la dalle ou du plancher par un feutre, un isolant ou tout autre matériau continu.

Chatière : Petite ouverture insérée dans la couverture et permettant l’aération des combles ;

Chéneau : Conduit situé en partie basse des toitures et destiné à recueillir et canaliser les eaux de pluie appelé généralement gouttière

 

Chevrons : Pièces de bois posées sur les pannes et sur lesquelles sont fixées les lattes soutenant la couverture d’une toiture.

Chien assis : Fenêtre en saillie située dans la toiture.

Cloison : Désigne les parois non porteuses permettant d’organiser les espaces. Les cloisons peuvent être en briques, parpaings, carreaux de plâtre,…

Condition suspensive : Condition dépendant d’un événement futur et incertain qui suspend la validité d’une convention (ex : promesse de vente sous condition suspensive d’obtention d’un prêt) Si la condition ne se réalise pas, l’acte est considéré comme nul et non avenu.

Conducteur de travaux : technicien ayant les compétences à conduire, coordonner et vérifier toutes les étapes de votre chantier.

Contrat de construction (CCMI) : Le contrat de construction de maison individuelle (CCMI) implique des précisions (terrain, ouvrage, prix et échelonnement des paiements, garantis de livraison, assurance dommages-ouvrage) et la formulation de conditions suspensives. Particulièrement, le contrat avec plan nécessite une garantie de remboursement.
Par le contrat de construction de maison individuelle, le constructeur se charge de la construction d’un ou deux logements, destinée au même acquéreur à usage d’habitation ou à usage mixte (habitation et professionnel). Ce type de contrat est très règlementé et soumis aux dispositions de la loi du 19 décembre 1990. En fait, peu de constructions de maisons individuelles échappent aujourd’hui à cette règlementation. La loi prévoit deux types de contrat : le contrat de construction avec fourniture de plan ; le contrat de construction sans fourniture de plan (également appelé contrat de construction de maison individuelle allégé).

Coefficient d’occupation des sols (COS) : Coefficient déterminant pour chacune des parcelles comprises dans les zones définies par le plan d’occupation des sols (POS) d’une commune, la densité de construction admise selon les règles d’urbanisme. Rapport exprimant le nombre de mètres carrés maximum de plancher hors oeuvre pouvant être construits par mètre carré au sol.

CCMI : Contrat de Construction de Maison Individuelle – Contrat passé entre le constructeur d’une maison individuelle et l’acquéreur propriétaire du terrain sur lequel sera édifiée celle-ci

Contre-chambranle :

Contre-marche : Dans un escalier, pièce verticale comprise entre deux marches consécutives. Dans les escaliers à la française les contremarches s’assemblent dans une rainure pratiquée dans la marche supérieure et se clouent derrière la marche inférieure; dans les escaliers à l’anglaise, elle se visse le plus souvent dans un tasseau.

Cour anglaise : Cour située au dessous du niveau du terrain et qui permet d’assurer la ventilation ou le jour de pièces situées au sous-sol. Aussi connu sous le nom de « saut de loup ».

Cuvelage : Traitement des parois en béton permettant de leur assurer une étanchéité. Utilisé pour la construction de sous-sols en milieu humide.

 

Dalle : Surface horizontale en béton reposant sur la structure d’une construction.

1ère dalle : sur le sous-sol ou vide sanitaire

2ème dalle : sur le rez-de-chaussée

 

Déclaration d’achèvement des travaux : Déclaration signée du constructeur qui doit être adressée à la mairie dans un délai de 30 jours à partir de l’achèvement des travaux.

Dévoiement : Changement de direction d’un conduit.

Disjoncteur : Interrupteur de sécurité qui coupe le circuit électrique en cas de surtension.

Dormant : encadrement de porte et fenêtre, scellé dans la maçonnerie et destiné à recevoir les parties ouvrantes.

Drainage : Conduit souterrain qui sert à évacuer l’eau des sols trop humides. Son objectif est de capter les eaux de ruissellement pour éviter l’accumulation d’eau contre la paroi.

DROC : Date Réglementaire d’Ouverture de Chantier                                                                     Par « ouverture de chantier », on entend :
– l’installation de palissades autour du chantier,
– l’arrivée du matériel,
– les premiers travaux de terrassement, …

DTU : Documents Techniques Unifiés. Document qui réunit l’ensemble des « Règles de l’art » et techniques de construction dont le bien-fondé est confirmé par l’expérience, pour chaque type d’ouvrage du bâtiment : par exemple, installations de gaz, pose des parquets, exécution des enduits, etc. Il y a actuellement une centaine de DTU. À chaque DTU correspond une norme NF. Les D.T.U., rédigés en coopération avec les intervenants, et publiés par le C.S.T.B., sont en France la référence technique indiscutée dans tout règlement de litiges de conception ou de mise en oeuvre portant sur les ouvrages concernés. Le non-respect des prescriptions des DTU constitue, pour les assureurs, un motif suffisant pour faire jouer les clauses d’exclusion de garantie. Certains DTU particuliers sont dits Règles de calcul : ils regroupent un ensemble de règles techniques de conception et de calcul des ouvrages (fondations, charpentes, construction métallique, béton, cheminées, sécurité des ouvrages aux risques sismiques, aux surcharges de neige et de vent, et calculs thermiques).

Eaux pluviales (EP) : les eaux recueillies des toitures.

Eaux usées – Eaux vanne (EU): Les eaux usées sont les eaux évacuées des cuisines et salles de bains. Les eaux vannes sont les eaux évacuées des WC.

 

Eau chaude sanitaire (ECS) : eau chaude sanitaire

 

Eau chaude sanitaire solaire (ECSS): eau chaude sanitaire solaire

 

Ebrasement : L’ ébrasement ou ébrasure est la partie de biais dans l’épaisseur d’un mur d’une baie (dont la découpe globale est généralement appelée l’embrasure). L’ébrasement s’arrête aux montants du dormant de la porte ou la fenêtre lorsqu’elle existe et peut contenir les volets d’intérieur, les volets d’extérieur selon son côté. L’ébrasement a pour but de faciliter l’arrivée de la lumière pour des fenêtres, jours et soupirails ou de simplifier le passage des personnes, des véhicules pour des portes et portails.

Entrevous : Un hourdis est un élément creux de maçonnerie (aussi appelé entrevous) constitué de béton, de terre cuite, de polystyrène (permet une isolation et une pose avec plus de légèreté), ou plus récemment de bois aggloméré (permettant des travaux dans des endroits difficilement accessibles).

Les hourdis sont placés entre deux solives porteuses, partie constituant avec les poutrelles un plancher béton. Il garnit un colombage, une armature en pans de bois.

Égout : Bas de pente d’une toiture, d’où s’écoulent les eaux de pluie.

Faîtage : Arête horizontale formée par la jonction de deux pans de toiture dans leur partie haute.

Faux plafond : Plafond légèr suspendu ou posé sur ossature en sous face du plancher ou de la dalle structurante.

Fenêtre : Menuiserie vitrée de différents types.

  • Fenêtre à la française: le vantail ouvre vers l’intérieur suivant un axe vertical latéral.
  • Fenêtre à l’anglaise : le vantail ouvre vers l’extérieur selon un axe vertical latéral
  • Fenêtre coulissante : panneaux coulissant suivant des rails horizontaux haut et bas.
  • Fenêtre basculante : le vantail bascule autour d’un axe central horizontal.
  • Fenêtre pivotante : le vantail pivote autour d’un axe central vertical.
  • Fenêtre à soufflet : le vantail bascule vers l’intérieur autour d’un axe horizontal en partie basse
  • Fenêtre à guillotine : panneaux coulissant suivant des rails verticaux situés de part et d’autre du châssis.
  • Oeil de boeuf : Châssis circulaire fixe ou basculant autour d’un axe central horizontal.

Ferme : Principal élément porteur de la structure des combles, destiné à recevoir les pannes, le faîtage et les chevrons. La ferme est constituée par l’assemblage de plusieurs pièces, dont les principales sont les arbalétriers, l’entrait et le poinçon; viennent ensuite, selon le type de la ferme : les contrefiches, les entraits retroussés, les jambes de force, les blochets, les aisseliers, etc.

 

Ferraillage : ensemble des armatures métalliques incorporées dans la maçonnerie et assurant la solidité de la construction. Naturellement très résistant aux forces de compression, le béton a besoin de compléter sa résistance par les ferraillages pour résister aux forces de traction.

Fondations : Assises des structures d’une construction. Les fondations sont conçues en fonction de la nature des sols. Fondations superficielles sur de bons sols (roche, matériau compact et sec…) et pieux sur les sols de mauvaise qualité (remblais, sols poreux…).

Fouille : action de creuser dans un terrain. Tranchée pour couler des fondations (fouille en rigole).  Décapage de grande envergure destiné à recevoir la future construction (fouille en grande masse).

Fourreau : Gaine permettant de protéger les câbles et canalisations dans les traversées de maçonnerie ou dans le sol.

Frais annexes : frais liés à l’emprunt, frais de notaire, taxes…

Gaine : Chute verticale encloisonnée dans laquelle sont groupées diverses canalisations, évacuations, conduites de ventilation…

Garantie de bon fonctionnement : Les éléments d’équipement d’un immeuble neuf qui ne sont pas indissociables du gros œuvre sont garantis pendant 2 ans en cas de dysfonctionnement.

GARANTIE DECENNALE:
Tout constructeur d’un ouvrage est responsable pendant 10 ans envers le maître de l’ouvrage des désordres pouvant affecter sa solidité ou le rendre impropre à sa destination.
Entrent dans le champ d’application de la garantie décennale les désordres de même nature qui affectent les éléments d’équipements indissociables du gros œuvre.

Garantie de parfait achèvement : La garantie de parfait achèvement, à laquelle l’entrepreneur est tenu pendant 1 an à compter de la réception des travaux, a pour objet la réparation de tous les dommages constatés dans le procès-verbal de réception ou notifiés postérieurement.

Garantie de livraison à prix et délais convenus

Une des garanties obligatoires pour les constructeurs de maisons individuelles est appelée « garantie d’achèvement » ou encore « garantie de livraison ». Vous devez en exiger l’attestation au plus tard à l’ouverture du chantier. Elle doit être nominative et émaner du garant sous la forme d’un document original.

Cette garantie vous apporte la certitude que votre maison sera construite dans les meilleures conditions, la livraison se faisant à prix et délais convenus.

En cas de dépassement du prix : le garant peut laisser à votre charge une franchise d’un montant maximum de 5 % du prix de la maison.

 

Garantie de remboursement d’acompte

Si le contrat prévoit des paiements au constructeur de maisons individuelles avant la date d’ouverture du chantier, le remboursement de ces acomptes doit être garanti par un organisme habilité.

Cette garantie permet au maître d’ouvrage avant de récupérer les sommes qu’il a versées l’ouverture de chantier au cas où le contrat ne prendrait pas effet pour diverses raisons : la non-réalisation d’une condition suspensive dans le délai prévu ; la non-ouverture du chantier à la date convenue ; l’exercice par le maître d’ouvrage de sa faculté de rétractation dans le délai de dix  jours après réception du contrat.

En l’absence ce cette garantie de remboursement, le constructeur ne peut exiger à la signature du contrat qu’un dépôt de garantie au plus égal à 3 % du prix.

Garde-corps : – 1. Balustrade horizontale construite sur le bord du palier d’arrivée d’un escalier. – 2. Dispositif placé, du côté du vide, au-dessus de chaque platelage d’un échafaudage. Le garde-corps se compose d’une plinthe, d’une sous-lisse, d’une lisse et d’une main courante.

Gobetis : Plâtre jeté avec une truelle ou un balai, et sur lequel on passe la main pour le faire entrer dans les joints.

Goûte d’eau : Petite moulure en quart-de-rond réalisée en sous-face d’un appui. Elle évite à l’eau de pénétrer par capillarité à l’intérieur de la construction.

Gouttière : Profilés métalliques disposé en partie basse des toitures et destinés à recueillir les eaux pluviales et à les canaliser vers les évacuations.

Gros-Oeuvre : Eléments structurants d’une construction. (fondations, murs, dalles, toitures… )

HQE : Pour mettre en oeuvre une conception plus globale, certains constructeurs se sont engagés dans une démarche de certification fondée sur les principes de la « Haute Qualité Environnementale » : NF Maison Individuelle démarche HQE®.

Ces constructeurs s’engagent à respecter les principes de la démarche HQE, dont 4 sont incontournables :

– la relation du bâtiment avec son environnement
immédiat ;

– un chantier à faibles nuisances ;

– la gestion de l’eau ;

– la gestion de l’énergie.

HPE : Haute Performance Energétique.
Le label « haute performance énergétique » prévu à l’article R.111-20 du code de la construction et de l’habitation atteste la conformité des bâtiments nouveaux à un référentiel qui intègre les exigences de la réglementation thermique, le respect d’un niveau de performance énergétique globale de ce bâtiment supérieur à l’exigence réglementaire et les modalités minimales de contrôles.
Il comporte deux niveaux correspondant à une consommation conventionnelle d’énergie inférieure :
·        soit, de 8% à la consommation conventionnelle de référence définie à l’article 8 de l’arrêté du 29 novembre 2000 précité ; le label « haute performance énergétique » est alors appelé «Label haute performance énergétique, HPE 2000 » ;
·       soit, de 15% à la consommation conventionnelle de référence définie à l’article 8 de l’arrêté du 29 novembre 2000 précité ; le label « haute performance énergétique » est alors appelé  « Label très haute performance énergétique, THPE 2000».
Dans la RT2005, le label HPE est associé à une réduction de 10% de la consommation de référence et le label THPE à une réduction de 20%

 

Hors d’air : se dit d’une construction dont la couverture, portes et fenêtres sont posées.

Hors d’eau : Se dit d’une construction à l’achèvement  des murs extérieurs et de la toiture.

Hourdis : Eléments préfabriqués de remplissage disposés entre les solives ou les poutrelles d’un plancher.

Hydrofuge : Produit imperméabilisant, ayant pour effet d’interdire ou de ralentir le cheminement de l’eau ou sa pénétration dans les matériaux, et de les préserver contre les effets de l’humidité.

 

Hypothèque : Une hypothèque est un droit accordé à un créancier (par exemple une banque) sur un bien immobilier (ou exceptionnellement sur un bien meuble assimilable à un immeuble tel un navire) en garantie d’une dette, sans que le propriétaire du bien qui constitue la garantie en soit dépossédé.

Un bien hypothéqué est un bien qu’un créancier peut faire saisir si le débiteur ne remplit pas l’obligation principale (par exemple les échéances ne sont pas payées), afin de le mettre en vente, et d’être remboursé par préférence sur le prix de vente.

Une hypothèque est prise par le biais d’un notaire dans les juridictions de droit civil. Elle est aussi ouverte aux avocats dans celles de droit anglo-saxon s’il n’est pas prévu un organisme géré par la puissance publique de conveyance, ou dans certains cas d’un juge. Elle fait l’objet d’un enregistrement sur un registre officiel.

Ignifuge : Se dit d’un matériau traité pour offrir une meilleure résistance au feu.

Implantation : matérialiser l’emplacement exact de la maison sur le terrain. C’est sur cette base que sera effectué le terrassement.  Important de participer à la réunion d’implantation proposée par votre constructeur afin d’éviter toute mauvaise surprise au démarrage du projet.

Imposte : Menuiserie fixe ou ouvrante située au dessus ou au-dessous d’une porte ou d’une fenêtre.

Insert : Appareil placé dans la cheminée et permettant de récupérer la chaleur.

Isolation : Matériaux mis en œuvre en vue de gérer les transmissions thermiques ou acoustiques au travers des parois.

Isolation thermique : Le coefficient R mesure le pouvoir isolant d’une paroi. Les matériaux de base permettant d’assurer une bonne isolation thermique sont la laine de verre ou de roche, le polystyrène, le béton cellulaire…

Isolation phonique : L’indice « alpha » mesure l’isolation phonique. Plus il est levé plus l’isolation est bonne.

kW :  est le symbole du kilowatt, une unité de puissance qui vaut 1 000 watts.

Lambris : Tout panneau fait d’un assemblage de planches embrevées pour composer des portes, cloisons, revêtements de murs :

 

Lasure : Produit d’imprégnation et de revêtement qui confère aux ouvrages en bois exposés aux intempéries à la fois la protection (hydrofuge, insecticide et fongicide) et la décoration (teinte naturelle ou coloration).

Limon : – 1. Partie rampante et porteuse d’un escalier, recevant les marches, les contremarches et les balustres. – 2. Limon central, limon présentant la particularité d’être placé le plus souvent à l’axe d’un escalier dont les marches sont en porte à faux. – 3. Limon plate-bande limon horizontal, placé sur le pourtour d’une trémie d’escalier et en face de l’épaisseur du solivage, du plafond et du plancher, pour former la continuité du limon rampant et permettre l’assemblage de pied des bandes.

Linteau : Pièce horizontale placée au-dessus d’une ouverture pour en former la partie supérieure et supporter la charge qui lui est superposée.

Lisse : – 1. Pièce de bois disposée parallèlement entre un limon et une main courante, pour réduire le vide entre ces deux éléments. – 2. Pièce horizontale placée entre des poteaux, pour recevoir le bardage. – 3. Pièce intermédiaire entre la main courante et la sous-lisse d’un garde-corps d’échafaudage. 4. Pièces horizontale dans un mur à ossature légère en bois

Listel : Carrelage linéaire utilisé en frise décorative.

Lotissement : Le lotissement est une opération d’aménagement par laquelle le lotisseur, opérateur immobilier le plus souvent privé,

  • achète une grande propriété inconstructible, car non viabilisée, généralement situé en périphérie de l’urbanisation existante
  • réalise les études techniques nécessaires à sa viabilisation, détermine le plan masse de l’opération, détermine le plan de division qui créera des terrains à construire et des espaces communs (rues et espaces verts notamment), fixe éventuellement les règles d’urbanisme qui s’appliqueront aux constructeurs (on parle habituellement de cahier des charges ou de règlement du lotissement), afin d’assurer un aspect harmonieux au quartier ainsi généré.
  • réalise les travaux de voirie et réseaux divers (VRD) nécessaires, en
  • puis commercialise ces terrains désormais viabilisés afin de les vendre soit à la personne construisant pour son compte, soit à un promoteur qui construira des bâtiments en vue de les revendre aux acheteurs finaux.
  • et cède les voies et espaces communs, soit à la commune, soit à l’association syndicale de lotissement, constituée par l’ensemble des propriétaires de lots, et qui auront donc la charge de les entretenir.

Le lotisseur doit disposer de capitaux importants, car il doit financer l’achat du terrain qu’il va lotir, les études et les travaux avant de commencer à vendre les terrains qu’il aura ainsi viabilisé, ce qui ne peut être fait que de nombreux mois, voire plusieurs années après son acquisition initiale. C’est une des raisons qui font que le lotisseur, afin de réduire ses dépenses, tend à adopter un plan de voirie régulier, tel que le plan hippodamien ou en chandelier. De tels plans se reconnaissent aisément, et permettent de qualifier de lotissement les quartiers créés par ces opérations immobilières.
L’objectif du lotisseur sera également de réduire autant que possible la durée séparant les investissements initiaux de l’obtention de recettes par la vente des terrains. En raison des emprunts bancaires qui ont pu être faits à cette occasion, le portage foncier peut être très coûteux s’il dure longtemps.

L’opération d’aménagement, constituant par définition même à transformer des terrains non viabilisés en terrains constructibles, est habituellement réalisée en périphérie des zones urbanisées, c’est-à-dire en banlieue ou en zone périurbaine. Elle est donc critiquée car elle contribue à l’étalement urbain et, pour les lotissements pavillonnaires, pour leur faible efficacité énergétique.

 

Main courante : Partie haute d’un garde corps, ou barre d’appui longeant une paroi.

Maitre d’œuvre : Le maître d’oeuvre (ou maîtrise d’oeuvre, notée MOE) est l’entité retenue par le maître d’ouvrage pour réaliser l’ouvrage, dans les conditions de délais, de qualité et de coût fixées par ce dernier conformément à un contrat. La maîtrise d’oeuvre est donc responsable des choix techniques inhérents à la réalisation de l’ouvrage conformément aux exigences de la maîtrise d’ouvrage. Le maître d’oeuvre a ainsi la responsabilité dans le cadre de sa mission de désigner une personne physique chargée du bon déroulement du projet (on parle généralement de maîtrise du projet), il s’agit du chef de projet.

Maître d’ouvrage : Personne physique ou morale pour le compte de laquelle sont réalisés une construction ou des travaux. Le maître d’ouvrage réunit les fonds et fait construire. Un particulier qui construit une maison individuelle en est son maître d’ouvrage.

Marché : Accord portant sur des travaux à exécuter. Il comprend un descriptif des prestations dues, les prix, les délais d’exécution, ainsi que les obligations et engagements des parties.

Mezzanine : Plancher complémentaire aménagé dans une pièce offrant une grande hauteur sous plafond.

Murs :

  • Mur aveugle – mur sans ouvertures.
  • Mur banché – mur en béton armé
  • Mur d’échiffre – mur sur lequel reposent les marches d’un escalier.
  • Mur mitoyen – mur situé sur la limite séparative entre deux propriétés.
  • Mur pignon : mur latéral d’une construction, perpendiculaire aux façades principales.
  • Mur porteur : mur structurant assurant la descente des charges d’une construction.
  • Mur de refend : mur porteur situé à l’intérieur de la construction et reliant les façades ou les pignons entre eux.
  • Mur de soutènement : mur permettant de résister à des poussées latérales (poussées des terres en sous sol…)
  • Mur bahut : mur de faible hauteur formant soubassement.

Notaire : Officier ministériel qui reçoit ou rédige les contrats, les obligations, les transactions et les autres actes volontaires et leur confère l’authenticité

Notice descriptive: constitue un des documents contractuels du contrat de construction avec les plans et le contrat proprement dit.

Tout ce qui ne figure pas sur le descriptif est une source potentielle de litiges ultérieurs.

 

Noue : C’est l’intersection rentrante de deux versants d’une toiture

 

Oculus : Ouverture vitrée située dans une porte.

Œil de bœuf : Lucarne inscrivant un châssis circulaire ou ovale.

Panne : – 1. Pièce de bois généralement posée de niveau sur les arbalétriers, où elle reporte les charges que lui transmet la couverture, tout en reliant les fermes. La panne peut être posée à dévers ou face aplomb, et est bloquée sur les arbalétriers par une échantignolle et des clous. On dit qu’une panne à dévers panne bien lorsqu’elle est prise dans un bois sans gauche et qu’elle repose parfaitement sur toute la largeur des ses appuis, tandis que les chevrons portent sur toute la largeur de son chant. – 2. Panne de bris, panne d’un comble à la Mansart, située au raccord du brisis’ et du terrassons. – 3. Panne faîtière, Panne posée au sommet d’un comble. – 4. Panne-sablière, panne posée à dévers à la base d’un comble.

Parasismique : Qualifie la conception architecturale adaptée au risque d’ébranlement par les séismes (secousses telluriques dites tremblement de terre). Cette conception fait l’objet de deux DTU : Règles P.S.69, complétées en 1982 ; Règles P.S.-MI 89. L’application de ces règles s’impose, à des degrés divers et selon les types de bâtiments, dans les régions à risques, qui sont classées en 5 zones (depuis 1985).

Pare-vapeur : Feuille ou membrane étanche à la vapeur d’eau : film de PVC, polyéthylène, polyester, papier-plomb, papier goudronné, feuille d’aluminium, etc. Les pare-vapeur ont pour rôle d’empêcher ou d’entraver le cheminement de la vapeur d’eau à travers les parois. Dans une isolation thermique, il importe de toujours disposer les écrans pare-vapeur du côté chaud de l’isolant, c’est-à-dire vers l’intérieur des locaux, pour éviter le risque de condensation de la vapeur dans l’épaisseur de l’isolant.

Parpaings : Blocs parallélépipédiques en béton, existent en plusieurs épaisseurs, utilisés pour la construction des murs porteurs ou de cloisons de distribution.

Perméabilité : – 1. Matériaux : aptitude d’un corps à se laisser pénétrer et traverser par l’air, par la vapeur d’eau ou par l’eau à l’état liquide (s’applique aussi à d’autres phénomènes : perméabilité aux ondes sonores, perméabilité magnétique). L’imperméabilisation a pour objet de réduire la perméabilité à l’eau. – 2. Menuiserie : la perméabilité à l’air des menuiseries extérieures mesure la quantité d’air que peuvent laisser passer leurs feuillures, lorsque la pression extérieure (vent) est supérieure à la pression à l’intérieur des locaux ; elle doit être aussi réduite que possible. Les menuiseries font l’objet d’une classification suivant la quantité d’air qu’elles laissent passer en une heure pour une pression extérieure de 100 Pa (pascals) – Classe AI, dite normale : maximum 60 m3/h. – Classe A2, dite améliorée : maximum 20 m3/h. – Classe A3, dite renforcée : maximum 7 m3/h.
Réglementation thermique : perméabilité à l’air liée à la RT 2012 – 0,6m³/h.

Permis de construire : Autorisation obligatoire pour construire, effectuer une extension ou une rénovation.
La demande de permis de construire est déposée à la mairie du lieu de la construction. Elle est constituée du projet architectural et des pièces administratives nécessaires.
Le délai d’instruction est généralement de 2 mois. Le délai peut être plus long selon les services consultés, dans ce cas le délai est précisé par l’administration.

Permis de construire modificatif :  Lorsque les travaux ayant fait l’objet d’un permis de construire doivent subir des modifications, il n’est pas nécessaire de solliciter un nouveau permis dans la mesure où le projet n’est pas fondamentalement changé. Un permis de construire modificatif peut être demandé.

– Modifications pouvant faire l’objet d’un permis modificatif

Elles peuvent porter soit

– sur le contenu d’un permis de construire antérieurement délivré

– sur un projet faisant l’objet d’une demande de permis de construire en cours d’instruction

A titre d’exemple de modifications pouvant donner lieu à un permis modificatif :

– La suppression ou l’addition d’un étage

– Les changements de façades

 

Phréatique : La nappe phréatique est la nappe d’eau souterraine dont il est nécessaire de connaître l’existence et le niveau haut lors de la conception de constructions en sous-sol.

Pied droit : —————————

Pignon : Le pignon désigne à l’origine la partie supérieure triangulaire du mur d’un bâtiment servant à donner des versants à un toit.

Le pignon reçoit la plus simple des charpentes : les poutres horizontales, les pannes, qui supportent les poutres de plus faible section posées dans la ligne de pente, les chevrons.

Placostyl : cloison Placostyl (BA13 + isolant + B13), le tout maintenu par des rails métalliques. Très bonne isolation phonique.

Plan de masse : Plan présentant les limites du terrain et son orientation, l’implantation de la construction par rapport aux limites du terrain, le tracé des voies de dessertes et les raccordements. Le plan masse fait figurer le plan des toitures de la construction.

Plan de situation : Plan permettant de situer le terrain concerné par rapport à la commune dans lequel il s’inscrit.

Plan local d’urbanisme : En France, le plan local d’urbanisme (PLU) est le principal document d’urbanisme de planification de l’urbanisme communal ou éventuellement intercommunal. Il remplace le plan d’occupation des sols (POS) depuis la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi 2000-1208 du 13 décembre 2000) dite loi SRU1.

Les petites communes se dotent souvent quant à elles d’une carte communale. Cependant une commune de petite taille mais soumise à une forte pression foncière (commune littorale par exemple) ou à de forts enjeux paysagers ou architecturaux (commune appartenant à un Parc naturel régional (PNR) par exemple) a tout intérêt à se doter d’un PLU.

 

Plan d’occupation des sols (P.O.S) : Document fixant les règles générales et les servitudes d’utilisation des sols d’une commune. Pour chaque zone définie le P.O.S. fixe le Coefficient d’occupation des sols (C.O.S.) qui détermine la densité des constructions autorisée.

Planelle : est un bloc de terre cuite de faible épaisseur, situé en périphérie d’un plancher et de même nature que le matériau utilisé pour les verticaux. Ainsi la façade présente un parement uniforme.

La planelle est utilisée pour réaliser les coffrages lors du coulage de la dalle pleine (radier) ou de la table de compression d’un plancher hourdi. La mise en œuvre d’une planelle se fait à l’aide d’un mortier classique.

La planelle permet d’éviter des problèmes de fissuration d’enduit de façade en maintenant l’homogénéité du parement de façade et en évitant que ce soit le béton du plancher qui soit en contact avec l’enduit extérieur. Il est donc primordial que la planelle soit d’un matériau de même nature que celui utilisé pour le remplissage des parements : si les parements sont en blocs béton, alors la planelle doit être en blocs béton. Si les parements sont en béton cellulaire, la planelle sera de même, etc.

Il existe des planelles qui permettent de réduire (très partiellement) les ponts thermiques créés par la jonction mur-plancher.

 

Polyane : Ce nom désigne souvent de façon générique, sur chantier, les films plastiques (surtout polyéthylène) utilisés comme bâches et protections diverses, ou comme pare-vapeur ou barrières d’étanchéité.

Pompe à chaleur (PAC) : Une pompe à chaleur (PAC) est un dispositif thermodynamique permettant de transférer la chaleur du milieu le plus froid (et donc le refroidir encore) vers le milieu le plus chaud (et donc de le chauffer), alors que, naturellement, la chaleur se diffuse du plus chaud vers le plus froid jusqu’à l’égalité des températures. Le réfrigérateur est le système de PAC le plus connu. Le climatiseur est un autre système de PAC courant. Les pompes à chaleur des climatisations sont parfois réversibles (plus exactement: inversibles) contrairement aux réfrigérateurs.

Mais le terme de « pompe à chaleur » s’est surtout diffusé pour désigner la pompe à chaleur géothermique ou la pompe à chaleur air-eau, système de chauffage domestique popularisé en France suite au premier choc pétrolier en 1973. Dans certains pays, dont la France, des incitations fiscales soutiennent la diffusion de certains modèles de pompe à chaleur air-eau. Ces systèmes regagnent en popularité depuis l’an 2000, notamment en raison de l’augmentation du prix du pétrole et de préoccupations écologiques.

Pont phonique : Transmission parasite du son résultant, par exemple, d’un passage de tuyaux dans un mur ou dans un plancher, ou de la présence d’un aérateur.

Pont thermique : Zone ponctuelle ou linéaire qui, dans l’enveloppe d’un bâtiment, présente une moindre résistance thermique, du fait du phénomène de convergence / divergence des flux (concentration vers les points de faible résistance). Les ponts thermiques réduisent l’efficacité d’une isolation. Les plus fréquents sont les abouts de planchers et de murs, les jonctions de parois en général, les ossatures et chaînages de béton, coffres de volets roulants, huisseries de baies (surtout métalliques); on peut les détecter par spectrographie des parois extérieures.

Promesse de vente : C’est un contrat conclu par un vendeur qui s’engage à vendre un bien à un prix déterminé, alors que l’acheteur, lui, se réserve le droit d’acheter ou non, à l’issue d’un certain délai (délai d’option), fixé par les parties. En matière d’immobilier, cette promesse doit être impérativement enregistrée dans les 10 jours de son acceptation par l’acheteur.

Propriétaire :

Qualité : La maître mot d’Alsace Construction. A toutes les étapes du projet, jusqu’au service après-vente

 

Réputation : constructeur depuis 30 ans en Alsace, ce sont nos clients qui font notre réputation…

 

Surprise : la seule surprise que vous aurez avec Alsace Construction c’est un agréable cadeau au moment de la remise des clefs… mais on vous en a déjà trop dit !

 

Puisard : Puits destiné à la récupération des eaux de pluie.

Pureau : Partie non recouverte d’un élément de couverture (tuile, ardoise…). Ecart entre les tasseaux cloués sur les chevrons.

: le coefficient R mesure la capacité d’un matériau à agir comme un isolant . Plus le coefficient R est grand, moins il y a de transferts thermiques . C’est donc la réciproque du coefficient U , soit R = 1/U

Raccordement : travaux effectués sur votre terrain  pour raccorder la maison aux réseaux publics (électricité, gaz, téléphone,…).

Radier : Type de fondation utilisé sur les sols instables. Il est constitué d’une dalle en béton armé, réalisée sous toute la surface d’un bâtiment. Le radier permet une répartition homogène des charges sur le terrain.

Ragréage : Enduit étalé sur une surface brute pour l’homogénéiser avant la mise en place d’un revêtement de finition.

Réception des travaux : C’est l’acte par lequel le maître d’ouvrage déclare recevoir les travaux (avec ou sans réserves) en présence du constructeur. Elle fait l’objet d’un procès verbal de réception, et constitue le point de départ des différents délais de garantie.

Remise des clés : conséquence de la réception des travaux. Jusqu’ici le constructeur avait la garde du chantier, la livraison vous transfère toute responsabilité en cas de sinistre non imputable à un vice de construction.

Réseaux secs : Edf, Gdf, Télécom et éclairage public

Réseaux humides :

Réserve : désordres ou malfaçons  notifiés lors de la réception.

RT 2005 : La RT 2005 (réglementation thermique 2005) est une norme devant être appliqué à toutes les constructions neuves dont le permis de construire a été déposé à partir du 1er septembre 2006 (Journal Officiel du 25 mai 2006, décret n° 2006-592 du 24 mai 2006 et arrêté du 24 mai 2006). Son but est de réduire les consommations d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre des batiments résidentiels et non résidentiels (tertiaires, bâtiments industriels …).

La RT 2005 encourage :

  • la conception bioclimatique de la maison
  • le renforcement des exigences sur le bâti (pont thermique, , etc…)
  • La prise en compte des consommations (elle impose par exemple une consommation énergétique maximale « cep max » en tenant compte des zones climatiques et du type de chauffage.
  • Le recours aux énergies renouvelables (EnR)
  • La performance des équipements (elle amène des systèmes comme la VMC hygro ou double flux ou les pompes à chaleur à se démocratiser).
  • une meilleure lisibilité des performances énergétiques (elle affiche désormais les consommations d’énergie primaire par m2 de SHON).

Semelle : semelle de fondation = élément de transmission d’efforts destiné à augmenter l’aire de la surface de répartition des  charges.

Semelle filante : En partie basse des fondations, elles sont situées sous les murs porteurs et les poteaux.

Solive : Une solive est une pièce de charpente placée horizontalement en appui sur les murs ou sur les poutres pour constituer le plancher d’une pièce. La continuité du plancher entre les solives est assurée par des entrevous.

Soubassement : partie basse de la maçonnerie prenant appui sur les fondations et servant de base résistante pour l’élévation des murs de la maison.

Surface habitable (SHAB) : Surface de plancher calculée après déduction de l’emprise des murs, des cloisons, des caves, des sous sols, des balcons et locaux dont la hauteur est inférieure à 1,80m.

Surface hors œuvre brute (SHOB) : Ensemble de toutes les surfaces construites à tous les niveaux y compris emprise des murs et cloisons, combles, sous sols, balcons…

Surface hors œuvre nette (SHON) : Ensemble des surfaces construites y compris emprise des murs et cloison et déduction faite des surfaces extérieures et des surfaces non aménageables. Elle correspond à la somme des surfaces de plancher de chaque niveau de construction, après qu’aient été notamment déduites la surface des combles et sous-sol non aménageables (hauteur inférieure à 1m80, locaux techniques, …), la surface des toitures-terrasses, balcons, loggias, les surfaces non closes situées au rez-de-chaussée et les surfaces aménagées à usage de parking.

SW : le coefficient Sw mesure les apports solaires de la paroi vitrée dans la recherche de performance énergétique

Tableau : dans une baie est l’espace vertical dans l’épaisseur de mur entre la feuillure engravée recevant la porte, la fenêtre et le parement, le nu du mur à l’extérieur. Par extension l’embrasure.

Terrassement : mouvement de terre destiné à donner au terrain la forme désirée : décaper le terrain pour l’exécution des fondations.  Déblais, remblais, terrassement.

Terrassement en pleine masse : décapage du terrain afin d’obtenir une surface plane avant le tracé des fondations. L’emprise au sol  de la maison est augmentée d’un gras mètre (zone de remblais) afin de permettre la pose des coffrages par les maçons pour les murs en béton du sous-sol. La zone de remblai laisse également l’accès à la pose des réseaux  dont le drainage périphérique , la récolte des eaux de pluie, etc…

Trappe de visite : Ouverture munie d’un panneau amovible permettant la visite et la réparation des canalisations (elles sont placées sur les gaines, ou le tablier des baignoires, elles peuvent permettre l’accès au vide sanitaire…)

THPE : Très Haute Performance Energétique

Le label «très haute performance énergétique » atteste que le bâtiment respecte un niveau de performance énergétique globale supérieur à l’exigence réglementaire, vérifié grâce à des modalités minimales de contrôle, les consommations conventionnelles d’énergie primaire doivent être inférieures d’au moins 20% par rapport à la consommation de référence RT 2005

Tuiles : Eléments de couverture en terre cuite. Ils existent en plusieurs dimensions et sont de forme variable (Tuiles mécaniques, tuiles plates, tuiles canal…)

UMF : Union des Maisons Françaises => www.uniondesmaisonsfrancaises.org/

U : Le coefficient U ( ou K ) est la mesure du transfert de chaleur suite aux échanges de températures intérieures / extérieures. Il est utilisé presque exclusivement pour décrire la perte de chaleur au travers d’un matériau. Techniquement, il représente la quantité de chaleur passant au travers d’une surface de 1 m² quand il y a une différence de 1°K entre l’intérieur et l’extérieur. La notion est très utilisée dans l’univers du film et du verre.

UW : le coefficient Uw mesure la performance thermique de la fenêtre

Vantail : Partie ouvrante d’une fenêtre ou d’une porte.

Velux : Châssis de toit inscrit dans la continuité du rampant d’une toiture.

Ventilation mécanique contrôlée (V.M.C.) : Système d’aération assuré par un aspirateur électrique permettant généralement la ventilation de locaux humides ou aveugles.

Viabilisé : Se dit d’un terrain sur lequel les travaux préalables nécessaires à la construction (voirie, réseaux…) ont déjà été réalisés.

Vide sanitaire : Vide laissé entre le sol et le dessous de la première dalle. Le vide sanitaire doit être d’une hauteur minimale de 20cm et ventilé.

 

Volumes : c’est une des caractéristiques des projets architecturaux d’Alsace Construction

VRD : Voirie et Réseaux Divers. Raccordements indispensables pour transformer un terrain « nu » en terrain équipé viabilisé (voiries internes, travaux de branchement aux divers réseaux d’assainissement, d’eau, de gaz, d’électricité, téléphone,…).

 

WC : en porcelaine, ils sont suspendus dans tous les projets Alsace Construction : pratique pour le nettoyage

 

Xyste : Alsace Construction aurait bien aimer les construire… en Grêce il s’agissait à l’Antiquité de la galerie couverte d’un gymnase !

 

Yeux : les avoir ouverts à toutes les étapes : c’est la mission du conducteur de travaux qui suivra votre projet !

 

ZEN : c’est l’état dans lequel souhaite vous mettre Alsace Construction tout au long de votre projet de construction